• La rive droite est celle que l'on trouve à main droite quand on regarde dans le sens du courant descendant de l'amont vers l'aval d'un fleuve, rivière, ruisseau, torrent...

     

    L’ amont d'un fleuve, d'une rivière, d'un ruisseau, d'un torrent... désigne la partie du cours d'eau vers laquelle descend le courant. L’ aval indique une direction vers ou plus près de l'embouchure d'un cours d'eau.

     

    (source : AquaPortail )

     


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    Randonneurs suivant le tracé d'une randonnée

     

    « Un sentier, c’est la mémoire que la terre garde des hommes. Plutôt que fait pour marcher, il est fait par les marcheurs (…), ils passent; pourtant, leurs effleurements plient l’herbe, leurs foulées polissent l’argile, leurs pieds rapides modèlent un sillon. L’infime finit par creuser sa marque.

     

    Le sentier diffère de la route (…). Alors que le sentier reste un chemin obtenu par le consentement du paysage, puisqu’il suit ses mouvements, la route, conçue abstraitement par des géomètres, l’agresse en le coupant. Le sentier épouse la nature, la route la viole. »

     

    Source : La porte du Ciel, Eric Emmanuel Schmitt, 2021

     

     

     

     

     

     

     


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  • Chapelle Sainte Anne à Laeken

    L'illustration européenne N°26 - 3 avril 1886

    Dessin original de M.J. Godart Meijer

     L'Allée Ste ANNE, à LAEKEN.

    Laeken est, dans la bonne saison, le but de promenade favori des Bruxellois, qui s’y portent en masse, pour y jouir des charmes de la nature, dans le vaste parc qu’on y a créé et qui promet de devenir un des principaux attraits de la capitale.

    La pittoresque allée, dite « Drève Ste. Anne », un des chemins qui y conduit, d’ordinaire si solitaire et si triste, s’emplit alors du bruit de l‘animation, de la gaieté de toute une foule, heureuse de pouvoir dilater ses poumons dans une atmosphère plus pure que celle de la ville.

    Au bout de cette allée, s’élève une petite chapelle, qui a sa place dans l’histoire.

    Les renseignements que nous donnons ci- après au sujet de cette chapelle, sont extraits d’un ouvrage publié en flamand  sur le culte de la Vierge à Laeken. par M. Coekelbergh , curée-doyen d l’endroit.

     Cette chapelle dédiée à Ste. Anne et enclavée dans le parc public dont nous parlons ci-dessus, a été construite à la fin du17e siècle, sous le gouvernement de l‘Infante Isabelle. Le réservoir de la source dite des « Cinq plaies » qu'on remarque tout proche, est un don de l’archiduchesse espagnole. 0n a toujours reconnu, a l’eau de cette source, une vertu curative contre la fièvre, ce que les chimistes modernes expliquent par les propriétés ferrugineuses qu’elle possèderait.

    Ce fut sur le désir exprimé par son confesseur, le père récollet André de Sota, qu’Isabelle fit creuser, à l’endroit où la source sort de terre un bassin rectangulaire d’environ 30 pieds de longueur sur 20 de largeur, arrondi à son extrémité postérieure.

    De chaque côté de l'escalier par lequel on y descend règne un double banc de pierre formant gradins, qui longe toute l’enceinte de la construction et va aboutir an fond à un monolithe élégamment sculpté, scellé dans la paroi.

    Sur la partie inférieure de ce petit monument se dessine une belle rosace, au centre de laquelle
    sont percées les cinq ouvertures par lesquelles l’eau coule de la source.

    Cette eau est reçue d’abord dans une conque dont le trop plein se déverse dans un réservoir, elle se rend de là, par des conduits souterrains, aux diverses fontaines qu’elle alimente. Au-dessus de la rosace se trouve, enchâssée dans une plaque de marbre blanc, une inscription latine, qui nous dit par qui ce réservoir fut édifié et à la suite de quelle circonstance.

    Enfin la pieuse Infante fit l’acquisition, sur sa cassette particulière, du terrain compris entre la source et l’ancienne église de Laeken. On y planta, par ses ordres, une magnifique avenue, composée de quatre rangées d’arbres. Ils forment ainsi trois allées dont celle du milieu est la plus spacieuse. Cette allée a longtemps porté le nom de « Hertoghsdreve » elle s’appelle de nos jours, comme nous l’avons dit, « Drève ou Avenue Ste. Anne. »

    Le nom de Ste. Anne a été donné à cette drève et à la fontaine parce que, disent les chroniqueurs, la source en question sortait primitivement de dessous un chêne qui portait une image de la mère de la Vierge. La construction de la petite chapelle fut le résultat de la vénération dont I’endroit devint l’objet.

    La publication ci-dessus est communiquée à titre d'illustration de la promenade http://randocovid.eklablog.com/laeken-neder-over-heembeeck-a215522973

     

     

     

     

     

     


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  • Janvier 2024

    source:IRM

    La température moyenne du mois de janvier 2024 est de 3.7° C , elle est identique à la moyenne observée en longue période.

     

    Cette moyenne recouvre toutefois de grandes variations journalières. La température a été inférieure à la moyenne de longue période entre le 7 et le 20 janvier.

     

    Le mercredi 17 janvier des chutes de neige abondantes ont concerné une grande partie du pays, faisant apparaître des paysages magnifiques. Assez vite cependant la poudreuse se transforme en surface verglacée qui décourage les promenades pour les personnes aux os fragiles. La neige avait pratiquement disparu à Bruxelles et aux alentours le dimanche 21 janvier.

     

    Il s’agit selon l’IRM de l’épisode neigeux le plus important en Belgique depuis celui du 12 mars 2013.

    Plus parlant encore le graphique suivant enregistré en fin de mois sur le site de l'IRM:

    Janvier 2024

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  •  Le plus grand rongeur d'Europe ne se montre pas facilement, mais des traces de rongement trahissent que le castor se cache près de l'Etang du Clos des Chênes à Watermael-Boitsfort.

     La réserve naturelle des Enfants Noyés se niche dans la Forêt de Soignes. La petite vallée se compose de trois étangs, reliés par le ruisseau Karregat. Autour de l'un de ces étangs, on a trouvé des traces de rongement du castor européen. Ce qui est remarquable, car depuis 1848, le castor avait complètement disparu de Belgique. Entre-temps, il est redevenu omniprésent en Wallonie et en Flandre aussi, il est en forte augmentation. "Il est probable que Bruxelles suive cette tendance, car les castors ont besoin de très peu de choses", explique Kristijn Swinnen de Natuurpunt. "Un cours d'eau et une végétation ligneuse sont à peu près les seules conditions nécessaires. En été, il se nourrit également d'herbes, de graminées et de roseaux, mais en hiver, il se tourne entièrement vers la végétation ligneuse, dont il mange l'écorce.

    Si les castors ont mis autant de temps à réapparaître à Bruxelles, c'est probablement parce qu'il y a des obstacles sur les cours d'eau. "Les castors avancent en nageant. Il arrive qu'il y ait une grille dans le cours d'eau, par exemple, ce qui signifie qu'ils doivent traverser une route et qu'ils sont tués de cette manière." C'est probablement ce qui s'est passé l'année dernière à Laeken lorsqu'un spécimen mort y a été trouvé.
     Reste à savoir si les castors se sont effectivement installés à l'étang du Clos des Chênes. "Si c'est le cas, d'autres traces apparaîtront dans les semaines à venir. Pensez aux terriers, aux arbres coupés Un animal migrateur ne reste pas plus de quelques jours sur place. Si de nouvelles traces apparaissent bientôt, nous pouvons donc supposer qu'il s'est installé là de façon permanente. ». AD

    Source : Beestig Brussel ; Bruzz 8 novembre 2023

    Lire la série complète sur

     

    Beestig Brussel | BRUZZ

    Traduction avec l’assistance de  : DeepL

     

     


     

     

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